Deccal’in Hatırı - Sevinç Kuşları 1 itibaren İletişim Yayınevi içinde LIT biçim

Julian Gomez jhuliangomez — o mi god !!!! i love this book i havent read since like the second grade it was a great book!

Marla Chepanonis marla_c — This book was ok. The heroine was more than annoying.

Sofía Oliver sofiaoliver — One of my great literary shames is that I started reading this book and never finished it."The Brothers Karamazov", "Ulysses", and "Doctor Faustus" are the only books I've "given up on" (as opposed to just stoped reading), and I plan on finishing them all someday. Especially since they are three of Mulzer's favorite books.

Pablo Villafrade _ — I am crazy in love with Sandra Tsing Loh and her everywoman stories of her life in SoCal. Someday I hope to be married to a musician and eating takeout from Koo Koo Roo.

Tu Anh tuanhbeu40b2 — Evie a enfin obtenu ce qu'elle a toujours désiré : mener une vie normale. Se rendre au lycée. Avoir son propre casier. Avoir un petit copain. Être libre de tout engagement et passer pour morte auprès de son ancien employeur, l'IPCA. Hélas, la réalité n'est pas si joyeuse et Evie a honte de s'avouer qu'elle commence à s'ennuyer un peu. C'est simple, l'action lui manque. Elle ne regrette pas son nouveau mode de vie, mais le contraste frise l'indécence, sans compter que Lend, son amoureux, est absent toute la semaine. Aussi, la tentation de renouer avec Raquel est facile. Savoir que le Centre pédale dans la semoule depuis son absence la comble de joie. Et que son coup de main serait hautement appréciable pour un petit dossier quelconque... Evie dit banco. Toutefois, il ne faudrait pas que Lend l'apprenne, et notre demoiselle entame une partie de poker menteur à ses risques et périls. Nouvelle apparition dans cette suite : Jack, un énergumène farceur, capable de circuler via les portails féériques sans assistance extérieure, son identité est trouble mais Raquel lui fait confiance. Pourquoi en douter ? De toute façon, Evie ne redoute qu'un seul garçon dans son existence : Rhett. Qu'on ne présente plus. Son attitude à lui aussi est étrange. De toute façon, il se passe des faits nouveaux chez tout ce petit monde qui gravite autour de l'héroïne mais trop en dire reviendrait à spolier malencontreusement l'intrigue ! (Est-ce embêtant si la grosse révélation finale n'a pas eu, sur moi, l'effet escompté ? Comme si j'avais déjà deviné le truc...) Retour gagnant pour Kiersten White, Supernaturally est une lecture drôle et espiègle, avec une héroïne charmante et une histoire qui ne manque pas de nous surprendre. Il y a toutefois un temps pour tout, et ce deuxième tome n'est plus une nouveauté, il n'y a plus cette étincelle de découverte, il faut broder autour des révélations annoncées, mettre un peu de piment, remplir le cahier des charges, quoi... avec la frétillante relation amoureuse qui perd également de son peps (c'est la loi des séries !). En somme, j'ai trouvé que c'était sympathique mais le premier tome était nettement mieux.

Seonhee Kwon energizerk — I got a copy of this book for free at a Daily Show taping because the author was being interviewed, and I read it primarily as a skimmer while waiting for my World War II first person shooter to load, in order to get me in the mood. As a simple account of what it's like to be a solider on the ground in Iraq it serves just fine, but that's about the most you can say for it -- as literature, its reach is much further than its grasp. The individual stories Crawford tells are interesting, but his reflections on his personal journey are tepid, and the unclear attempt at a "twist ending" just left me confused. It's not the worst war memoir in the world, but I'd imagine that you'd rather be reading one of the best.

Facundo Azuaga facundoazuaga — Khaled Hosseini's The Kite Runner isn't the classic that a lot of people have billed it as, but it's a well-written, compelling story, and a promising debut. Though this is the first novel published in English by an Afghan writer, the themes are hardly foreign: betrayal of best friends, internal anguish juxtaposed against the chaos of war, and how the sins of one generation torture another. The protagonist, Amir, is a particularly likable character, and Hosseini gives him the voice of somebody you could sit with and have tell you a story; he is simple, but smart; moral, but with foibles; loyal, but his one betrayal of his friend/servant Hassan haunts him through his whole life. I liked The Kite Runner; it's become obvious that this politics-and-war-torn country has a lot of stories to tell with universal appeal.