Jim Kee itibaren Greensboro, PA, USA

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12/22/2024

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Jim Kee Kitabın yeniden yazılması (10)

2019-04-02 00:41

Kripto Üçgeni TrendKitaplar Kütüphanesi

Tarafından yazılmış kitap Tarafından: Doğan Kitap

What a great novel! I was afraid, very afraid, that I might not like Dime Store Magic. Paige wasn't my favorite character in the least before (reminding me a bit of myself and even more of someone I like even less) but she was a great heroine and the book was so much fun to read. After introducing us to the paranormal community in General in Stolen we enter the witches world, the coven and Paiges parenting-issues, experiencing everything from her point of view. She is a mid-twenty witch and programmer, now responsible for young Savannah (whose books I've finished half an hour ago) who is very powerfull, irresponsible, angsty. She lost her mother and has been kidnapped, held in the same building as Elena was in Stolen. After getting her out of this Paige took her into her home and tries to be as good a mother as she can, but Savannah has had a mother, a dark witch and she has to deal with her reputation as just another dark witch and a Cabal-kid. Anyway, the coven isn't really supportive. On the contrary, Paige has to defend herself and prove she is worth it. 'It' meaning the air she breathes and a place, not to say her place, in the coven. Something that she, more than many others, should have simply inheritated. Her mother was, in the end, the hear of the coven and even if the other witches don't think Paige isn't as good, as insightful etc. they have to have her back. Except they don't. They kind of work against her, making everything even harder and when Savannah's father, the CEO of the Nast-Cabal and a sorcerer (read: enemy) tries to reach out to her, everything becomes even harder. Along the way Paige meets this guy.. Well, I can't say much about him without spoiling everything and I won't. The blurb leads the reader to believe that there isn't much romance, but there is. The romantic interest is a very interesting guy and I haven't read much about guys like him lately. He is unique compared to most of the paranormal heros. Still it isn't easy for Paige and him to be together, because there is the trust-issue and Paige really can't effort to trust the wrong people. Unfortunately he doesn't make it easy to see whether he is one of the good guys or not. In the end I'd even want to read more about him and his family if he and Paige weren't going to work everything out, because jeez, he's cool! My only problem is that no matter how good everything was, it wasn't.. better. I mean, there is nothing I can point out that I didn't like but it lacked the last few things to make me giggle thinking about the book. Bottom line: Read the series. I've finished all the 12 books now and I'm completely in love. The worldbuilding and characterdevelopment is awesome and Armstrongs writing style is exactly what I love in books. Witty, deep|insightful and well-paced. Truth be told, there are better Women of the Otherworld novels, though.

2019-04-02 01:41

Dünyayı Öğreniyorum - Arkadaşım İtfayeci - Ralf Butschkow TrendKitaplar Kütüphanesi

Tarafından yazılmış kitap Tarafından: İş Bankası Kültür Yayınları

Gilles Labarthe est journaliste d’investigation. Compagnon de route de l’association Survie, présidée jusqu’à sa mort par François-Xavier Verschave, il s’est fait une spécialité des arcanes économiques de la Françafrique. Son dernier ouvrage évite toutefois les outrances de certaines publications de cette association vengeresse, tel le Nicolas Sarkozy ou la Fraçafrique décomplexée de Samuel Foutoyet (éditions Tribord, 2009). Même s’il ne contient pas de révélations renversantes et se borne trop souvent à recycler des informations déjà connues, il se lit sans déplaisir. Gilles Labarthe ambitionne de dresser une « biographie sous l’angle africain » de Nicolas Sarkozy. Il veut faire mentir l’image d’un Président qui se désintéresserait de l’Afrique. Au contraire, soutient-il, le futur candidat à la présidentielle s’est très vite convaincu que tout candidat à l’Elysée devait être adoubé par les chefs d’Etat les plus influents de l’ancien pré carré. Cela explique le soin qu’il a pris à entretenir des contacts réguliers avec eux, et au premier chef avec Omar Bongo qu’il ne manquait pas d’aller saluer à l’occasion de ses –nombreux – passages à Paris. L’auteur montre que, durant toute sa carrière, Nicolas Sarkozy a côtoyé des hommes politiques (Achille Peretti, Charles Pasqua, Patrick Balkany …) ou des hommes d’affaires (Jean-Marc Vernes, Vincent Bolloré, Martin Bouygues …) très impliqués en Afrique. Mais – et c’est là que le raisonnement pêche – il ne suffit pas que le futur président ait croisé quelques hommes liges de la Françafrique pour faire de lui un « Africain ». Un chapitre par exemple est consacré à Michel Lunven qui, après avoir travaillé auprès de Jacques Foccart, fut ambassadeur à Niamey, à Bangui et à Libreville. Il finit sa carrière comme « conseiller Afrique » de Martin Bouygues. L’amitié bien connue qui lit l’héritier du géant du BTP et le futur Président ne justifie pas à faire du conseiller de celui-ci un proche de celui-là. Gilles Labarthe est en revanche plus convaincant quand il souligne le lapsus entre les promesses du candidat de rompre avec la Françafrique et le conservatisme de sa présidence. Il rappelle les belles envolées du discours de Cotonou du 19 mai 2006 (« il faut (…) débarrasser la relation franco-africaine des réseaux d’un autre temps, des émissaires officieux qui n’ont d’autre mandat que ceux qu’ils s’inventent ») et décrit avec piquant les faux-pas du premier périple présidentiel africain au Sénégal puis au Gabon, alors qu’on attendait le nouveau Président au Ghana ou en Afrique du sud. Mis sous presse en février 2011, le livre de Gilles Labarthe ignore les dernières évolutions de la politique africaine de la France. Il est difficile de lui en faire le reproche. Il n’en demeure pas moins qu’elles contredisent largement sa présentation trop négative. Après une décennie houleuse, la Côte d’Ivoire a enfin tourné la page Gbagbo en avril 2011. C’est une belle victoire pour la démocratie et pour la France. Autre évolution significative : Claude Guéant, qui pendant quatre ans a eu la haute main sur toutes les affaires africaines a quitté l’Elysée fin février. Il n’est pas sûr qu’il puisse continuer à leur porter la même attention depuis son bureau de la place Beauvau. D’ailleurs les révélations en septembre de Robert Bourgi, qui était proche de l’ancien secrétaire général de l’Elysée, sont le révélateur d’un glissement de pouvoir. Ce grand « déballonnage » a des airs de champ du cygne.

Okuyucu Jim Kee itibaren Greensboro, PA, USA

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